Les sillons infinis exceptionnellement enregistrés des fins de face de disques vinyls ne sont qu’un prétexte pour Menu à parler de musique en général et à renouer avec l’autobiographie par un angle détourné. Ce n°2 nous parle de souvenirs embarrassants, d’infusions douteuses, de festivals calamiteux, des Satellites, du label Amphetamine Reptile, et même d’une rencontre inoubliable avec le mangeur de chaises Afric Simone. Autant dire que tout ça reste assez Rock’n’Roll.